Écologie & urbanisme - L'écologie sans lutte des classes, c'est du jardinage

Texte d'intro


Comme la dernière fois, on commence par une petite playlist pour se mettre dans l'ambiance. Vu le thème, elle sera cette fois-ci moins littérale :


Livres :

Recommandés mais pas (encore) lus :


Je crois qu’il faut cesser de dire « environnement » et commencer à dire « survie de l’espèce humaine ». Ce serait rigolo d’entendre les politiciens dire « la survie de l’espèce humaine est importante, mais pas aux dépends de l’économie » pendant les campagnes électorales. (source)



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Podcasts :


Vidéos :

UrbanismeWhy Galesburg Has No Money, un article super intéressant sur le coût des infrastructures et le type de parcelles qui sont rentables au niveau des taxes de propriété. Si, si, je vous jure, c'est un sujet passionnant. Et ça fait écho aux excellentes vidéos de Not Just Bikes que j'ai posté le mois dernier, étant donné qu'il a fait toute une série de vidéos sur Strong Towns. #DMH56

Notes issues du podcast sur l'écofascisme :

Bernard Charbonneau ?

Dans le texte "Le Feu vert", il écrit "l'écofascisme a l'avenir pour lui, et il pourrait être aussi bien le fait d'un régime totalitaire de gauche que de droite, sous la pression de la nécessité écologique."

"Les écologistes de gauche, radicaux, ont eu très tôt conscience que moins on en faisait actuellement pour lutter contre la crise écologique, plus on risquait de se retrouver dans une situation face à laquelle le fascisme écologique serait une nécessité. Si on ne fait rien maintenant, à un moment il faudra prendre des mesures extrêmement brutales, coercitives, et radicales pour faire face aux effets du changement climatique. Plus on tarde à agir, plus on est climato-négationiste, plus on se prépare à être écofasciste."

Définition de l'écologie citée par Julien Bayou :
"La satisfaction des besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures à faire de même."
(c'est en fait une définition du développement durable)